Lucie Line

Mes yeux voient la Terre comme un joyeux terrain de jeu où l’être humain vient brasser des émotions, des peurs, des élans, des histoires.

Ce qui m’émeut profondément, c’est que la plupart des gens ne voient pas qu’ils jouent. Ils ne perçoivent pas les mécanismes dans lesquels ils sont pris ni les réflexes et les rôles qui se rejouent. Et c’est là que la souffrance se met à prendre toute la place.

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Souvent, la souffrance vient de l’histoire que l’on se raconte sur soi, sur les autres, sur ce qui s’est passé. On finit par se confondre avec cette histoire et oublier que ce n’est qu’un angle de vue, une façon parmi d’autres de regarder les choses.

Avec cette conviction profonde : la joie fait toujours partie des choix, même si c’est quelque chose que l’on a absolument oublié.

Les idées que l’on porte

Nous venons balayer les idées devenues obsolètes, sans jugement.

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